Praxiteles

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  • in reply to: What is the tallest church spire in Ireland? #720137
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    Re: The Muenster in Ulm

    Do you not think “not stopping” and “arresting” an oxymoron?

    in reply to: What is the tallest church spire in Ireland? #720135
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    Here are the original drawins from 1911 for the completion of the spèire of Cobh Cathedral. You will notice the markings on the right hand side noting that the height of the spire from its base to the foot of the cross in 200 feet. Well, if someone would measure the height of the tower to the base of the spire and add the height of the Cross, we should have the height of the spire. Anne Wilson in her excellent study of Cobh Cathedral mentions a height of 300 feet. I have no doubt, however, that Cobh exceeds Limerick in height.

    in reply to: What is the tallest church spire in Ireland? #720131
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    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767689
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    St. Mary’s in Dingle, Co. Kerry, by JJ. McCarthy 1862.

    In terms of utter vandalism, what happened at St. Mary’s in Dingle manages to surpass even Killarney Cathedral. The original church had a nave and aisles divided by an arcade on pillars – all of which have been demolished. The external wall were also demolished to below the level of the clerstory. The worst was reserved for the west elevation which had its attic and upper ranges demolished. The result looks not too dissimilar from the Notekirchen built on the ruins on churches throughout Germany after the war. Just how could such have happened?

    This is what the interior used to look like:

    in reply to: the work of J.J. McCarthy #775156
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    St. Mary’s in Dingle, Co. Kerry, by JJ. McCarthy 1862.

    In terms of utter vandalism, what happened at St. Mary’s in Dingle manages to surpass even Killarney Cathedral. The original church had a nave and aisles divided by an arcade on pillars – all of which have been demolished. The external wall were also demolished to below the level of the clerstory. The worst was reserved for the west elevation which had its attic and upper ranges demolished. The result looks not too dissimilar from the Notekirchen built on the ruins on churches throughout Germany after the war. Just how could such have happened?

    This is what the interior used to look like:

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767688
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    St. Nicolas, Nantes, Jean-Baptiste Lassus 1844

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767687
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    Spot the features that relate directly to the spire of St. Colman’s Cathedral in Cobh.

    St. Nicolas, Nantes by Jean-Baptiste Lassus

    West elevation of the plan for the Cathedral of Moulins 1851 by Jean-Baptiste Lassus:

    North elevation of the plans for the Cathedral of Moulins 1851 by Jean-Baptiste Lassus

    South elevation Cobh Cathedral

    E.W. N. Pugin’s drawings for the Spire at Cobh

    Le style néogothique

    Jean-Baptiste Lassus (1807-1857) se fait, dès 1836, à la Sainte Chapelle de Paris, le défenseur d’un art gothique dont il cherche à reproduire les qualités formelles et spirituelles. Architecte diocésain en 1848 pour Chartres et Le Mans, il est aussi chargé de la cathédrale de Moulins, assisté de Louis Esmonnot (1807-1886). Leur projet de construction (il s’agit de terminer la nef) rend compte des recherches de Lassus sur le style gothique d’Ile-de-France des années 1150-1250 dont il tend à retrouver le poétique équilibre des volumes. Il montre aussi la cathédrale fièrement isolée de tout autre bâtiment qui viendrait en masquer l’extérieur. La suppression des constructions accolées aux édifices sera une des actions principales des architectes diocésains dans la seconde moitié du siècle. Lassus est le précurseur des archéologues et des architectes néomédiévaux qui investissent les Cultes en 1848 : Abadie, Baudot, Mérimée, Viollet-le-Duc, Ruprich-Robert.

    Le projet de Jean-Charles Danjoy (1806-1862) pour Bordeaux montre comment les architectes diocésains opèrent sur la totalité du bâtiment, incluant à leur action le décor — comme ce mur peint de chapelle — et, souvent, le mobilier. Danjoy est l’un des premiers architectes rattachés au service des Monuments historiques, créé en 1837, qui lui confie le château de Falaise en 1840. En 1843, l’administration des Cultes le charge de la restauration de la cathédrale de Meaux puis le nomme architecte diocésain pour Meaux, Bordeaux et Coutances. Il déploie dans ses travaux un sens artistique délicat, basé sur des connaissances archéologiques sérieuses.

    Pierre-François Gautiez (1803-1856), architecte diocésain de Metz en 1853, répond à une circulaire de l’administration des Cultes demandant la réalisation de plans types d’églises, de presbytères et d’écoles. Cette circulaire préconise le style gothique pour le nord de la France et le roman pour le Sud. Gautiez est parfaitement en phase avec les désirs de son administration. Son église de campagne est représentative de ce style néomédiéval un peu raide qui gagne au cours du siècle l’ensemble de la France.

    Auteur : Nadine GASTALDI

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767686
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    I enclose a short note on Jean-Baptiste Lassus published by the Ecole des Chartes. This begins to explain much of A.N. Didron’s activities in the Annales Archéologiques:

    LASSUS Jean-Baptiste 1807-1857.

    Jean-Baptiste Lassus interrompit ses études à l’école des Beaux-Arts commencées en 1828 pour entrer chez Labrouste. Il fut parmi les premiers de sa génération à s’opposer à l’emprise de l’Académie et au contenu de l’enseignement de l’architecture fondé sur la tradition gréco-romaine. Après s’être fait connaître par l’exposition de quelques projets au salon : Palais des Tuileries de Philibert de l’Orme, 1833, Projet de restauration de la Sainte-Chapelle, 1835, Réfectoire de Saint-Martin des Champs, 1836, il se consacra à une carrière d’archéologue-restaurateur. Il se situe aux origines du mouvement néo-gothique dont il constitue le courant archéologique et chrétien.
    Diamétralement opposé à Quatremère de Quincy, il développa une réflexion théorique qui était axée autour des principes suivants :
    – le premier âge gothique a produit une architecture rationnelle et fonctionnelle qui constitue l’apogée de l’architecture nationale. Le gothique ultérieur a dégénéré et la Renaissance a introduit des influences étrangères et païennes.
    – la restauration des édifices gothiques doit respecter l’authenticité formelle et structurelle des oeuvres.
    – le XIXe siècle doit mettre en application des préceptes du premier âge gothique pour découvrir les voies d’une architecture nouvelle.
    En 1836, Lassus est désigné collaborateur de Duban sur le chantier de restauration de la Sainte-Chapelle ; jusqu’à sa mort, il se consacra plus particulièrement à la réédification de la flèche, la décoration intérieure et l’isolement de l’édifice. En 1843, il est chargé avec Viollet-le-Duc de la restauration de Notre-Dame de Paris qui constitue le point de départ d’un changement radical dans les méthodes de restauration. À partir de 1848, il fut chargé de la restauration de la cathédrale de Chartres, dont il établit la monographie avec Amaury-Duval, du Mans et de Moulins dont il entreprit la construction de la nef, oeuvre achevée par Millet. Il travailla également à Saint-Germain l’Auxerrois et à Saint-Séverin à Paris, à Saint-Géraud d’Aurillac dont il projeta la flèche, à Notre-Dame en Vaux de Châlons-sur-Marne dont il construisit les deux flèches et à Saint-Aignan (Loir-et-Cher).
    Dans l’histoire de la déontologie de la restauration, Lassus occupa une place éminente. Il se distingue de ses prédécesseurs Alavoine, Debret et Godde par son refus des techniques nouvelles (fonte, mortiers de ragréage, etc.) inadaptés, selon lui, aux bâtiments anciens et par sa volonté de restituer scrupuleusement un parti archéologiquement fondé. À cet égard, il faisait cause commune avec Viollet-le-Duc, mais ce dernier développa par la suite des a priori qui se montrent fort éloignés, à l’exécution (Bayeux, Amiens par exemple), des conceptions pragmatiques, scrupuleuses, érudites et volontairement moins ambitieuses de son aîné.
    L’activité créatrice de Lassus est presque entièrement tournée vers l’architecture religieuse avec cinq constructions d’église : Saint-Nicolas de Nantes 1840, Sacré-Coeur de Moulins 1849, Saint-Pierre de Dijon 1850, Saint-Jean-Baptiste de Belleville 1853, l’église de Cusset 1855, deux projets non réalisés (Sainte-Eugénie à Paris et Notre-Dame de la Treille à Lille, concours de 1855), les agrandissements de bâtiments de l’époque classique au séminaire de Chartres et du Mans, des couvents dont celui de la Visitation, rue Denfert-Rochereau à Paris et celui, détruit, des dames de Saint-Maur à Montluçon.
    Les constructions civiles sont peu nombreuses : hôtel du prince Soltikoff (détruit à Paris), hôtel de Prosper Tourneux à Maisons-Laffitte, un immeuble de rapport, rue Taitbout à Paris, des travaux dans divers châteaux.
    Les oeuvres architecturales de Lassus font montre d’une double orientation. Lassus se montre capable de construire dans les styles à la mode : immeuble Louis-Philippe, rue Taitbout, hôtel néo-Louis XIII à Maisons-Laffitte, inspiration passablement troubadour pour l’hôtel Soltikoff ; il sait aussi se limiter à des architectures d’accompagnement lorsqu’il s’agit d’agrandir les séminaires de Chartres et du Mans. Mais à ces concessions faites au commanditaire ou à l’espace architectural environnant, s’oppose le véritable dessein de Lassus qui est de re-concevoir le style idéal des années 1150–1250 de l’ÃŽle-de-France : tel est le but de ses grands projets pour Nantes, Belleville, Moulins et Lille. Au terme de cette recherche, Lassus a conçu des formes, proches sans doute de ses modèles médiévaux, mais transposées dans une optique finalement assez peu éloignée du néo-classicisme : goût de la symétrie, horreur du pittoresque, subordination du détail à la logique du parti architectural.
    À ces productions s’ajoutent de nombreuses expériences dans le domaine des arts décoratifs, peintures murales, orfèvrerie, ornements liturgiques, buffets d’orgue, art du livre (Imitation de Jésus-Christ, 1855), etc.
    Lassus conçut ces expériences de la manière dont Didron, dans les Annales archéologiques, voulait faire de l’archéologie pratique ; en proposant des modèles, il faisait oeuvre de militant. Tantôt, il s’adonnait à l’archéologie expérimentale ; c’est ainsi qu’il fit peindre temporairement la nef de Notre-Dame pour mettre en application des recherches sur la polychromie architecturale du Moyen-Âge ; tantôt, il faisait reproduire, selon les méthodes semi-industrielles, des objets médiévaux, tel le reliquaire d’Arras pour répondre aux besoins des fabriques et du clergé.
    De cette oeuvre, extrêmement diversifiée, il ressort que Lassus ne peut pas être considéré comme un simple épigone de Viollet-le-Duc : il constitue un maillon indispensable à la compréhension de l’évolution de l’architecture dans la première moitié du XIXe siècle. Il a été formé aux conceptions rationalistes de l’école des Beaux-Arts, adopte les principes fonctionnalistes de Labrouste et substitue à l’historicisme gréco-romain l’historicisme médiéval dans le but de fonder un nouveau style. Mais il ajoute une réflexion religieuse et sociale dans la lignée de Lamennais qui colore d’une certaine poésie, notamment dans les espaces intérieurs, le rationalisme “néo-classique” de son néo-gothique.

    Bibliographie



    F21 2019.
    Arch. Monum. Hist., 1994, p. 28.
    Bauchal, p. 679-680.
    Bouvier, 1999.
    A. Darcel, «Lasus architecte», L’Illustration, 8 août 1857, vol. XXX, n°754 et Annales archéologiques, t. XVII, 1857, p. 311 et sq.
    Delaire, p. 187.
    B. Foucart et V. Noël-Bouton, “Saint-Nicolas de Nantes, bataille et triomphe du néo-gothique”, Congrès archéologique de France, XXVIe session, Haute-Bretagne, 1968, p. 136-181.
    Lance, t. II, p. 13-17.
    J.M. Leniaud, Jean-Baptiste Lassus (1807-1857) ou le temps retrouvé des cathédrales, Paris, 1980, 296 p.
    C. Mignot, L’architecture du XIXe siècle, Fribourg, 1983, 326 p.
    R. Middleton, p. 405.
    Thieme et Becker, XXII.
    N. M. Troche, «L’architecte Lassus», Annales de la Charité, Paris, 1857, in-8°, 8 p.
    – «Dernier et pieux souvenir d’un ami», Annales de la Charité, mars 1858, Paris, 1858.

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767685
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    I am posting here a picture of the South elevation of an ideal Neo Gothic church of the 13th. century which appeared in the first volumn of A. N. Didron’s Annales Archeologiques published in Paris in 1844. He, along with Viollet-Leduc, was the great exponent of the Gothic Revival in France and greatly admired A.W.N. Pugin. While I have never seen a reference to Didron as a possible source for the conception of Cobh Cathedral, I do not believe that it is completely to be ruled out that he was not. I also will add the relevant section for Cobh.

    Dideron tells us that this plan was drawn up by Jean-Baptiste Lassus (1807-1857) . It exemplifies a church of the period prior to the reign of St. Louis IX, and roughly from the end of the reign of Philipe-Auguste. Dirdon explains that the plan is presented in such a way “en agrandissant les dimensions du type qui sera offert, on pourrait avoir une cath

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767683
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    Mr Walker of Derry

    Bartlett print c. 1840

    in reply to: World City Icons. #765110
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    And let us not forget that the likes of Gambetta, Ferry , and later the awful Clémanceau, aka La Troisième Rép., lurk somewhere behind the the Statue of Liberty.

    in reply to: World City Icons. #765109
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    I am not sure that the tinny tower with all its 3rd. Republic associations is the best known image of France!

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767680
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    And what of these?



    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767678
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    The Basilique of Notre Dame du Sacré Coeur in Montreal, Quebeque: interior with ingraving by William Bartlett



    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767677
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    Just take a look at the endless list of wreckage done by ths yob:

    http://www.rvosko.com/pages/projects.asp

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767675
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    Of course it is not surprising about twin (or nearly twin spires) in French Canada when we remember La Patrie and cathedrals such as Chartres, Strassburg etc. If I remember correctly, the spires were twin in metropolitan sees but varied slightly in other cases.

    You are right about the towers giving the Immaculate Conception in Guelph and English look. Perhaps someone into CAD could illustrate what it might have looked like had spires been build instead.

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767672
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    It would be a very good idea to do something on mcCarthy and his followers, including Joseph Connolly who, although most of his work is in Canada, undoubtedly belongs to to the canon of Irish 19th. century architects. Apart from the article in the Ecclesiological Society, I remember reading about his churches in Canada in an article published in the Irish Arts Review (possibly in the period before it became a “Yearbook”) but I do not have it to hand.

    The Apse in the Immaculate Conception in Guelph is practically a verbatim quotation of the apse of the College Chapel in Maynooth. Even that curious chimney stack attached to the apse has quite close cousins in JJ. McCarthy’s Senior Infirmary (1861) at Maynooth College.

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767670
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    Re Joseph Connolly

    Try this article from the Ecclesiological Society, c. p. 30

    http://www.ecclsoc.org/ET.33.pdf

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767668
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    Top marks to P. Clerkin. The article on the proposed renovation caould refer to what is being proposed for Cobh. All you have to do is change the term “Guelph” for “Cobh” and add in an injudicious solemn promise made by Magee to consult the people of Cobh before anything would be done – alas never honoured. But such is the worth of a bishop’s word in Ireland to-day.

    But back to Joseph Connolly and the Immaculate Conception in Guelph; perhaps P. Clerkin would like to take us through the various elements of this spectacular church relating them to works of JJ. McCarthy in Ireland?

    in reply to: reorganisation and destruction of irish catholic churches #767666
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    Would anybody like to guess who the architect of this church might be and where it might be found? You will of course notice that the integrity of the building’s interior has not been compromised by some awful act of vandalism….

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